S’agissant de l’évaluation du quantum du préjudice d’un opérateur causé par son commissionnaire en douane, le juge n’a pas à ordonner de mesure d'instruction pour pallier la défaillance du client « qui procède par affirmation de son préjudice sans verser aux débats aucune facture de revente, simulation, ni aucun document émanant d'un expert-comptable attestant de son montant exact ». aussi, le juge peut apprécier « souverainement » ce quantum en fonction des éléments dont il dispose.
Plus d’information sur ce sujet dans le Lamy transport, tome 2.